Free Guy review – une bouffée d’air frais créative

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Résumé

Gars libre est une bouffée d’air frais créative.

Cette critique de Free Guy est sans spoiler.


Quelque chose que la plupart des gens n’admettront pas, c’est que les films de Ryan Reynolds sont souvent aléatoires. Vous ne pouvez pas le mettre dans n’importe quoi. Et souvent, il a un bilan horrible avec des choix de films. Pour chaque Dead Pool, vous aurez des puants (Le garde du corps du tueur à gages films) et quelques échecs purs et simples (La lanterne verte, RIPD). Mais ce qui rend Reynolds si populaire, ce sont ses charmes affables et comiques. Et de temps en temps, il trouve un scénario parfaitement adapté à ces talents.

Ce film est Gars libre, une comédie d’action innovante et contemporaine réalisée par Shawn Levy (Nuit au musée franchise), un réalisateur qui a une histoire de comédies de studio à succès financier qui sont trempées dans des effets spéciaux CGI. Le scénario a été écrit par Matt Lieberman (Les Chroniques de Noël films) et Zak Penn (Prêt joueur un, Les Vengeurs). Ils puisent dans la culture du jeu vidéo moderne en racontant une histoire du point de vue d’un PNJ (personnage non joueur) dans un monde de jeu vidéo ouvert.

Qu’est-ce qu’un PNJ ? Vous savez, ces personnages qui vivent en arrière-plan que vous pouvez écraser et souffler avec un fusil à canon scié dans des jeux comme Grand Theft Auto. Cette intelligence artificielle est Guy (Ryan Reynolds). C’est un caissier de banque qui travaille en arrière-plan d’un jeu appelé Ville libre. Il subit des vols au travail toutes les 90 minutes environ par les « lunettes de soleil » (avatars contrôlés par de vraies personnes). Vous connaissez le genre – les bons ou les méchants dans un jeu vidéo qui ne pensent qu’à eux-mêmes. Alors l’IA est comme Guy en paye le prix.

Son meilleur ami, Buddy (Lil Rel Howery), agent de sécurité à la banque, se confie souvent à lui. Comme l’histoire, il lui raconte le rêve qu’il continue d’avoir une nana super sexy et badass nommée Molotov Girl (Jodie Cramer). Elle est l’avatar de Millie, une codeuse qui joue Ville libre à la recherche de preuves que le créateur du jeu (Taika Waititi, incroyablement exagéré ici) a volé son code pour le créer. Bien sûr, Guy la voit un jour dans les rues numériques, tomber amoureux de son propre créateur. Ce qui vous fait réaliser que l’utilisation par Freud du complexe d’Œdipe était juste après tout.

La plupart des comédies à gros budget sont tellement investies dans les effets spéciaux qu’elles deviennent un assaut sur les sens qui deviennent implacables et épuisants (il faut regarder à travers la filmographie de Levy). Levy jongle avec succès avec les effets spéciaux pour conduire l’histoire plutôt que de dissimuler ses défauts. La fusion du timing comique, des performances gagnantes, du CGI, des invités surprises et même de la narration conceptuelle est harmonieuse.

Je dirai que le film, malgré toutes ses cloches et ses sifflets, dépend fortement de la sympathie de Reynolds, Cromer et de leur douce romance. Guy est tellement ensoleillé et optimiste que Millie de Cromer le devient. Il puise dans le public à la recherche de perspectives plus positives dans les moments les plus sombres. Si vous en doutez, expliquez les éloges de la critique et du public pour le véhicule de Jason Sudeikis Ted Lasso. Les nouveaux héros de la comédie sortent maintenant de l’ombre des vingt dernières années d’anti-héros pour lesquels le 21e siècle est connu.

Barré par le vainqueur Reynolds et guidé d’une main ferme par Levy, Gars libre est une diversion bienvenue dans une industrie obsédée par les mélodrames, les drames épuisants, l’humour grossier ou l’action assourdissante. C’est souvent drôle mais plus amusant que tout ce qui vous fait souvent sourire avec sa nature douce. Encore plus rare pour un film de mettre autant de travail sur sa qualité de narration attachante avec des effets spéciaux. C’est une bouffée d’air frais créative.

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