Résumé
Plus que bleu : la série comprend que le temps passe, mais que le passé revient sentimentalement.
Cette critique de la saison 1 de Netflix More than Blue: The Series ne contient pas de spoilers.
Refaire des films en séries semble être populaire ces derniers temps. d’Amazon je sais ce que tu as fait l’été dernier a déjà fait irruption dans la communauté YA, et Netflix a publié Plus que bleu : la série basé sur le film populaire.
Plus que bleu : la série nécessite la capacité émotionnelle et l’énergie cérébrale pour rester engagé car il soulève une histoire d’amour tragique qui s’étend sur des années. Les personnages K et Cream sont les meilleurs amis infatigables que nous considérerions tous comme le couple potentiel parfait; c’est l’amour idéal que nous aspirons tous à trouver. C’est le genre d’histoire d’amour qui est frustrante mais réconfortante en même temps. L’histoire entraîne une complication d’escroquerie; deux personnages sont rapprochés par les circonstances mais séparés par des événements indésirables de la vie. K, qui est en phase terminale, souhaite désespérément que son meilleur ami soit heureux.
Et puis, d’un autre côté, la vie continue. Plus que bleu : la série comprend que le temps passe mais que le passé revient sentimentalement. Lorsqu’un producteur de musique trouve un disque appartenant à K and Cream, il s’engage à découvrir l’étendue du droit d’auteur, et ce qui se déroule est sa propre histoire, s’emmêlant dans les secrets du passé et les besoins actuels. La série est, à première vue, un processus compliqué qui comprend plus de quelques personnages mais sert un objectif à l’arc global. Cela vaut le temps et l’énergie pour le public.
La série comprend l’amour. Il comprend le pouvoir de la connexion humaine et de la curiosité que l’amour peut apporter. Plus que bleu : la série aime la belle forme d’art de la chimie et les douleurs des sentiments profonds. Il n’y a pas de simplicité dans les relations dans cette série, et il n’y a pas non plus d’attente pour qu’il y en ait. L’histoire comprend et résume les épreuves et les tribulations de la vie.
A dix épisodes, c’est sans doute trop long pour ce que vaut l’histoire. Pourtant, les scénaristes ont fait un travail minutieux en prolongeant le développement des personnages et en incluant suffisamment de flashbacks contextuels pour conserver l’investissement. La sensation d’être un peu étiré est évidente, mais c’est indulgent. Vous avez confiance que les personnages vous amèneront à une plate-forme de vérité plutôt qu’à une vision insipide de l’amour et de la vie.
Malheureusement, je n’ai pas vu le film, donc je ne peux pas faire de comparaison saine, mais j’ai aimé Plus que bleu : la série – c’est doux, dramatique et rempli de belles performances.
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